 Vendredi 18h j'ai quitté sans remord l'amant infernal, le sadique qui frappe le mental et te jette quelques pièces pour te consoler, réparer les blessures qu'il a faites mais qui ne se réparent pas.
Vendredi 18h j'ai quitté sans remord l'amant infernal, le sadique qui frappe le mental et te jette quelques pièces pour te consoler, réparer les blessures qu'il a faites mais qui ne se réparent pas. 18h, un vendredi soir, sur la table 14 dossiers attendent mon retour et en attendant ils vont s'accoupler pour se multiplier, proliférer et me faire regretter cette porte que je claque en partant parce que je pars pour quelques jours seulement, aujourd'hui ce n'est pas encore pour toujours...
18h, ce vendredi soir, dans le bus j'écris cet au revoir rêvant d'un adieu qui n'aura pas lieu
 
 




